Victor Yélognissè Boton est un activiste écologiste militant en faveur des droits des communautés autochtones et locales sur les Terres de leurs ancêtres, les avantages écologiques qui s’y trouvent les connaissances traditionnelles qui leur sont associées.

Très engagé dans la médiation culturelle au sein de nombreuses communautés locales, il a apporté dans le cadre du projet, Porto-Novo, Ville Verte et grâce à ces qualités de facilitation, une expertise pointue en matière de conseil, soutien et appui à la participation des habitants. Dans son militantisme, il participe aux efforts collectifs de mis à échelle des solutions à propos du développement durable basée sur des approches conduites par les communautés locales.

Il est membre les structures, réseaux, communautés de pratiques, groupes d’experts telles que GRABE-BENIN (éducation environnementale), Africap2016(le patrimoine culturel immatériel) le Collectif africain des praticiens de la jurisprudence (la Terre et des lois de la Nature), Urban Prospective Lab(Villes intermédiaires), Consortium mondial APAC(Aires, territoires de vie relevant du patrimoine des communautés autochtones et locales), Urbaconsulting-IRC(Maîtrise d’œuvre Sociale et Environnementale(MOSE)). Aujourd’hui, Victor détient une Maîtrise de lettre en Sociologie-Anthropologie de l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin), il est en attente de soutenance du Master II en Anthropologie-Ecologie à l’Institut Supérieur d’Anthropologie et d’Ecologie de l’Université Catholique de Madagascar.

Dans la ville de Porto-Novo, il oriente ses recherches sur l’imaginaire collectif comme un facteur de maintien de la présence du végétal en milieu urbain et grâce au soutien du projet de recherche intitulé ANR INFRAPATRI : savoirs et attachements au végétal urbain en Afrique subsaharienne (Bénin, Cameroun, Nigéria, Sénégal) : Identification et production d’un infra-patrimoine.