La première, « Émancipation du Vivant », centrée sur le territoire du Barroso, aujourd’hui menacé par la construction d’une des plus grandes mines de lithium d’Europe, la deuxième évoquant les « domicides », soit les éradications de logements populaires qu’ont connu les grandes villes portugaises au cours des dix dernières années.
Deux autres sont en préparation pour l’automne, avec une série d’installations sonores et musicales, en collaboration avec d’autres artistes, pour évoquer des lieux qui disparaissent au Portugal en raison du changement climatique ou de
grands travaux de construction, ainsi qu’un projet basé sur la mémoire des lieux d’origine avec des habitant.e.s de Lisbonne immigré.e.s issu.e.s de différentes communautés.